25 mai 2022
My Beers Epinal, c'est le #30 de la famille My Beers. Et pas des moindres, cela signe notre arrivée sur le territoire du Nord Est ! Retour sur le parcours de Sebastien, le franchisé du My Beers Epinal
Une belle histoire ! Originaire d’Epinal, j’ai fait de études de podologie sur Paris et exercé en tant que podologue dans la Vallée du Rhône. J’étais à cheval entre Annonay, Tournon, Valence, donc j’ai pas mal vadrouillé dans la région. Je me suis associé en tant que podologue, mais sur le long terme je ne savais que ça n’allait pas le faire. J’ai stoppé le métier de podologue et j’ai fais un bilan de compétence pour savoir davantage ce que je voulais faire dans le futur. Ouvrir un My Beers ne s’est pas présenté tout de suite. L’histoire est que j’ai découvert le concept My Beers dans la région. A chaque fois que je retournais voir ma famille vers Epinal, je me faisais la réflexion suite « Il n’y a pas de concept similaire sur Epinal ». Généralement, on dit d’Epinal que c’est une « ville morte », c’est-à-dire peu dynamique. Il manquait un concept tel que My Beers dans une ville comme celle-ci : un concept de cave et bar à bière certes, mais surtout des grands espaces, des horaires de fermetures “afterwork” la semaine, et plus festives le week-end. C’est comme ça que j’ai décidé d’ouvrir un My Beers vers Epinal : ça me correspondait pour le côté commerçant, où ça bouge, où l’emploi du temps est sans routine, et où je garde une autonomie.
En vrai l’histoire est simple, c’était le confinement et j’étais chez mes parents. Un soir je me brossais les dents et je me suis dis « mais oui, il faut que tu ouvres un My Beers ici ! ».
Pourquoi Epinal, parce que j’y suis originaire, c’est la ville où j’ai grandi. Un concept tel que My Beers n’existe pas sur la ville et je pense que ça peut apporter un vrai plus à la ville. Au-delà de mon intérêt commerçant, cela permet de créer du dynamisme dans une ville moyenne comme Epinal qui sont réputés pour ne pas être des villes dynamiques car non-étudiantes. Le concept touche une clientèle qui a encore envie de sortir, les 25 – 35ans.
Je souhaitais être franchisé pour bénéficier d’un accompagnement, car c’était un virage professionnel à 180° pour moi, et surtout de l’expérience des nombreux magasins My Beers et de la franchise pour éviter toutes les erreurs qu’on peut potentiellement faire lorsqu’on se lance comme un indépendant. Et puis, ça rassure autant personnellement que pour l’élaboration de son projet : par exemple cela rassure les banques car ils peuvent observer que derrière il y a un concept ficelé, un suivi et un accompagnement.
Parce que je trouvais que My Beers collait le mieux à la ville d’Épinal. La partie dégustation est plus développée que la partie caviste. My Beers, j’adore le nom et ça montre qu’on est spécialiste de la bière. Parce que la bière c’est la boisson conviviale, et avec tous les styles de bières existants on arrive à toucher tous types de personnes. Mais surtout ce qui fait la différence c’est le grain de folie : clairement, je le vois même avec des salariés qui n’ont même pas 3 semaines d’ancienneté, ils ont très bien réussi à rentrer dans le moule et ont bien compris ce qu’était My Beers avec ce grain de folie, ces soirées, ce côté animation et évènementiel car je suis persuadé que pour les gens, les bars existant depuis toujours, pour attirer les clients il faut faire de l’event et My Beers sait parfaitement le faire.
De plus, j’aime l’architecture des My Beers : ils sont aérés, lumineux, cozy et cela offre une grande salle de vente.
J'ai ouvert en Octobre 2021, elle s'est très bien passé. Comme c’est totalement innovant sur la ville, il y a donc un effet de curiosité. Ce qui remonte souvent, c’est que cela manquait à la ville. Il y a même des gens qui viennent de villes un peu plus loin et viennent me dire que cela n’existait pas dans le Nord-Est.
Au quotidien, ce sont des journées longues c’est sûr, mais c’est l’ouverture et l’aboutissement de mon projet, et comme c’est stimulant et passionnant, je ne vois pas passer mes journées. L’ouverture est intense, mais faite beaucoup plus sereinement avec mais l’accompagnement des animateurs réseaux qui nous conseillent et nous empêche de commettre des erreurs. Je suis d’un nature plutôt stressé, et grâce à l’accompagnement de la franchise, j’ai été beaucoup moins stressé et mon ouverture a été faite bcp plus sereinement.
Dans un premier temps, consolider le concept dans la ville et faire découvrir au maximum l’univers de la bière aux clients et organiser des animations, évènements. Je souhaite d’abord bien pérenniser le My Beers Epinal, et ne pas être juste un effet de mode. Et la deuxième étape, en projet moyen – long terme, contribuer au développement de la franchise dans le quart Nord-Est de la France. Que le My Beers Epinal soit « Le Mours-Saint-Eusèbe du Grand-Est » (Mours étant le premier My Beers ouvert dans la Drôme). Pour My Beers, il y a un intérêt commun avec la franchise et c’est pour ça que j’ai choisi cette franchise-là : je savais qu’il y allait avoir un intérêt commun et qu’avec un autre concept j’aurais été un simple numéro, un simple franchisé de plus, et que dans cette aventure, il y a un intérêt commun à évoluer ensemble pour que le My Beers ne soit plus cantonné au Sud-Est de la France.
C’est plutôt simple : dans le Nord-Est tu as une grosse fête familiale qui s’appelle la Saint-Nicolas. J’aimerais faire une soirée à thème sur la Saint-Nicolas où les clients viendraient déguiser en Père Fouettard ou en Saint-Nicolas. Ça serait la fusion de l’effet My Beers évènementiel, avec une tradition bien locale.
Conseil n°1 est de bien analyser la zone de chalandise et la concurrence. Et surtout le local : l’emplacement n°1. Trouver LE local qui fait que le My Beers sera bien placé dans la ville.
Ensuite ça serait de ne pas hésiter à voir les autres franchisés qui sont supers cool, qui ont des supers profils, où il ne faut pas hésiter à poser des questions, n’être fermé sur rien, prendre le meilleur de chaque franchisé pour que le My Beers cartonne, parce qu’il n’y a pas de meilleur franchisé : on a tous nos qualités et nos défauts sur certaines choses, il ne faut pas avoir peur de demander aux franchisés.